Ce vitrail a été créé à la demande d’une paroisse, à l’occasion du départ de son curé. Celui-ci étant aussi chef d’orchestre à l’occasion, c’est la sainte patronne des musiciens qui a été choisie pour l’accompagner pour la suite de son chemin. |
La sainte
« Selon la tradition, elle fut fiancée à un jeune homme prénommé Valérien, qu’elle convertit au christianisme. Ayant refusé d’honorer les divinités romaines, ils souffrirent tous deux le martyre à Rome aux alentours de l’an 220 » Sur son passage, des instruments abandonnés par les musiciens se mirent à jouer. « O sainte bien-aimée, je contemple ravie, Le sillon lumineux qui demeure après toi. Je crois entendre encore ta douce mélodie. Oui, ton céleste chant arrive jusqu’à moi. » Poème composé par sainte Thérèse de Lisieux pour sainte Cécile Elle est fêtée le 22 novembre. |
Détails
La partition choisie est celle du Messie de Haendel, aux portées des « Alléluias », le vitrail étant offert le deuxième dimanche de l’octave de Pâques, le 23 avril 2017. Les notes ont été gravées à l’acide fluorhydrique et la fraise diamantée. |
Les instruments sont ceux de la Rome antique. La harpe est gravée et relevée de peinture au jaune d’argent. Le vitrail, plus grand qu’un format A4, large d’un quart de mètre, est composé de 20 pièces de verre |
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